Comme pour une première nuit en prison, je marque le mur d’un bâton.
Son évocation (son souvenir ?) a recouvert ma journée d’un voile anthracite. Me faut-il impérativement me mettre en quête d’un divertissement conséquent pour absorber les résidus qui me hantent ?
Un métier ?
Vertige face aux conséquences…